Festival Jacques Brel

Loïc Lantoine est chez lui chez nous.

Une chance, car comme ces poètes médiévaux itinérants qui payaient le gite et le couvert avec leurs chansons, leurs poème ou leurs contes, il revient régulier, nous interpréter son répertoire nouveau et puis s’en va, riche de nos applaudissements, jusqu’à une prochaine fois.

A force, nous le connaissons bien mais il sait toujours nous étonner. Toute punkitude laissée de côté, son complice François Pierron et lui recherchent en permanence l’harmonie, la rythmique, le solo qui déchirent, jazzifiant et rockant à deux, ils ne nous libèrent qu’une fois qu’ils ont tout dit, tout tenté, tout exécuté.

Etranger familier, il nous surprend toujours, tant est étendue son inspiration.

Cette fois encore il nous réconmpense.

Loïc Lantoine est un cadeau.