Théâtre / Texte Samuel Beckett

Mise en scène : JJ Chep

Krapp : Jean Pètrement

Son : Maria Vendola

Production : Compagnie Bacchus

Krapp a 69 ans, une sorte de vieux fou solitaire qui se gave de banane et s’occupe à écouter le magnétophone, où sa vie durant il a enregistré ses états d’âme. C’est l’argument de « La dernière bande ».

« L’essentiel est le climat, ce grotesque tragique que les meilleurs interprètes savent susciter… Pètrement compose un clown défait aux allures simiesques qui n’est pas sans évoquer Michel Simon. » L’Humanité

« Pètrement magnifie le verbe rare, percutant, distillant à merveille un humour caustique. » L’Est Républicain

« Gueule tordue, dos cassé, yeux bigleux, cheveux terreux, Pètrement magnifie le texte de Becket. » Le Pays

« C’est une performance qu’accomplit Jean Pètrement, saisissant Monsieur Krapp, aussi humain qu’un singe qui nous regarde ! » Le Monde