Revue de presse

Il y eut les chansonniers.

Il y eut Coluche et Guy Bedos.

Il y a Christophe Alévêque, aujourd’hui.

Qui commente à sa façon les nouvelles du jour, du mois ou de l’époque.

C’est cinglant. C’est parfois sanglant. L’impertinent fustige les grands pour leur petitesse. Les plus élevés pour leur bassesse.

Lire la presse est un exercice salutaire à condition de savoir déchiffrer.

Alévêque a un flair de setter pour repérer l’entourloupe à la loupe.

Il doit à son public la vérité qui dérange, camouflée en entrefilet, incomplète ou caviardée.

Il vise l’honnêteté et récolte la crédibilité.

Le public rit de s’être fait manipuler, berner, rouler par ceux qui sont censés prendre soin de ses intérêts.