Dans le cadre du Festival Jacques Brel

On le connaît, le reconnaît et toujours il nous plaît. Depuis longtemps déjà.

Son nouvel album s’intitule Les falaises, celles au pied desquelles viennent frapper les ondes des radios. Maintenant, c’est son heure, et il n’était que temps.

Sa voix, ses musiques, sa présence sur scène, bref, sa personnalité crèvent le rideau derrière lequel tant d’artistes attendent.

Nicolas Jules ne ressemble à personne, c’est sa grande qualité.

Il écrit une poésie parfois dure et coupante mais il peut devenir doux et tendre et amour.

Ses chansons sonnent modernes et sur scène, soutenues par son groupe, elles entraînent dans leur chute, comme du haut d’Etretat, le spectateur non averti qui croyait inoffensive la chanson de Jules.

Nous l’aimons, ici, et nous ne sommes pas les seuls.

Il passe par chez nous, par le Festival, pour nous assurer qu’il y est bien, comme chez lui.

Merci.